Politiques de peuplement et logement social : premiers effets de la rénovation urbaine
Livre
Auteurs :
Agence nationale pour la rénovation urbaine, Auteur
ISBN/ISSN/EAN :
978-2-11-009307-3
Importance :
1 vol. (213 p.) / graph., couv. ill. en coul. / 24 cm
Prix :
14 EUR
Index. décimale :
HAB (HABITAT / LOGEMENT)
Catégories :
HABITAT - LOGEMENT
;
LOGEMENT SOCIAL
;
MIXITE SOCIALE
;
RENOVATION
;
ZONE DE RENOVATION
Note de contenu :
Cette publication repose sur une étude menée au cours de l’année 2012 à partir d’un échantillon de dix sites en rénovation urbaine, afin de répondre à un double objectif : d’une part, mettre en évidence ce que les acteurs ont mis en œuvre pour faire évoluer le peuplement des quartiers et contrer les logiques ségrégatives préexistantes ; d’autre part, mesurer les premiers effets des projets de rénovation urbaine sur la composition sociale des quartiers. La mixité sociale est au cœur des objectifs du programme national de rénovation urbaine, qui se déploie depuis 2003 dans plus de 400 quartiers en France.
Le CES de l’ANRU a déjà mis en évidence l’apport avéré mais limité de la diversification de l’habitat sur le peuplement des quartiers (La rénovation urbaine pour qui ?, La Documentation Française, 2013).
Au terme des projets de rénovation urbaine, les logements sociaux resteront majoritaires dans les quartiers et l’évolution de leur peuplement sera déterminante. A partir de l’analyse détaillée d’une vingtaine de quartiers en rénovation urbaine, Fanny Lainé-Daniel (Ville et Habitat), Christophe Noyé (Cf Géo) et Francis Rathier (Bers) dressent le constat d’une baisse inédite du niveau de ségrégation des quartiers étudiés, conséquence directe de la politique de démolitions-reconstructions.
Cette évolution fragile et temporaire doit nécessairement être accompagnée d’une mise en œuvre de politiques de peuplement volontaristes, mêlant actions sur l’offre, les attributions de logements sociaux et l’accompagnement des ménages, sous peine d’anéantir l’effet positif de la rénovation urbaine. Cette étude dégage une trentaine de propositions concrètes afin de généraliser de telles stratégies globales de peuplement.
Le CES de l’ANRU a déjà mis en évidence l’apport avéré mais limité de la diversification de l’habitat sur le peuplement des quartiers (La rénovation urbaine pour qui ?, La Documentation Française, 2013).
Au terme des projets de rénovation urbaine, les logements sociaux resteront majoritaires dans les quartiers et l’évolution de leur peuplement sera déterminante. A partir de l’analyse détaillée d’une vingtaine de quartiers en rénovation urbaine, Fanny Lainé-Daniel (Ville et Habitat), Christophe Noyé (Cf Géo) et Francis Rathier (Bers) dressent le constat d’une baisse inédite du niveau de ségrégation des quartiers étudiés, conséquence directe de la politique de démolitions-reconstructions.
Cette évolution fragile et temporaire doit nécessairement être accompagnée d’une mise en œuvre de politiques de peuplement volontaristes, mêlant actions sur l’offre, les attributions de logements sociaux et l’accompagnement des ménages, sous peine d’anéantir l’effet positif de la rénovation urbaine. Cette étude dégage une trentaine de propositions concrètes afin de généraliser de telles stratégies globales de peuplement.
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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1144 | HAB6-5 | Livre | Centre de documentation | Sections thématiques | Disponible |