Les français avancent à grand pas sur la longue route écologique
Documentation générale
Auteurs :
Régis BIGOT, Auteur
;
Sandra HOIBIAN, Auteur
Importance :
125 p. / 21x29,7
Langues:
Français
Index. décimale :
ENV (ENVIRONNEMENT ET PAYSAGE)
Catégories :
AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
;
CONSOMMATION
;
DECHET
;
EAU
;
ENERGIE
;
MODE DE VIE
;
TRANSPORTS
En ligne :
http://www.credoc.fr/pdf/Rech/C272.pdf
Depuis le milieu des années 1990, les Français affirment régulièrement leur sensibilité aux problèmes d’environnement. Mais cette sensibilité se traduit-elle réellement dans les comportements de la population ? Pour répondre à cette question, nous avons dressé un panorama de l’évolution des modes de vie et des pratiques quotidiennes qui ont une influence directe ou indirecte sur l’environnement. Dans chacun des domaines étudiés, nous avons rapproché les déclarations de la population avec des données observées. Et, dans la mesure du possible, nous avons cherché à analyser ces données dans la durée pour déceler les grandes tendances.
Nos travaux montrent qu’après des années d’exploitation intense des ressources, les pressions exercées par les ménages (production de déchets, consommation d’énergie, kilomètres parcourus en voiture, etc..) semblent ralentir, voire pour certaines, diminuer. Dans de nombreux domaines, l’inflexion s’est opérée au début des années 2000. La consommation de produits ou services ou même la consommation d’eau constituent les domaines où les progrès sont les plus flagrants. Et ces évolutions concernent tous les groupes sociaux, y compris les populations qui étaient moins impliquées sur ces sujets (jeunes, catégories modestes et non-diplômées). Nos analyses soulignent l’influence centrale de la sensibilité écologique sur les pratiques. Dans le secteur clé de l’énergie et des transports, les inflexions des comportements, moins marquées, semblent dictées autant par des considérations financières que par des préoccupations environnementales. En définitive, en une vingtaine d’années, de nombreuses habitudes ont été remises en question.
Nos travaux montrent qu’après des années d’exploitation intense des ressources, les pressions exercées par les ménages (production de déchets, consommation d’énergie, kilomètres parcourus en voiture, etc..) semblent ralentir, voire pour certaines, diminuer. Dans de nombreux domaines, l’inflexion s’est opérée au début des années 2000. La consommation de produits ou services ou même la consommation d’eau constituent les domaines où les progrès sont les plus flagrants. Et ces évolutions concernent tous les groupes sociaux, y compris les populations qui étaient moins impliquées sur ces sujets (jeunes, catégories modestes et non-diplômées). Nos analyses soulignent l’influence centrale de la sensibilité écologique sur les pratiques. Dans le secteur clé de l’énergie et des transports, les inflexions des comportements, moins marquées, semblent dictées autant par des considérations financières que par des préoccupations environnementales. En définitive, en une vingtaine d’années, de nombreuses habitudes ont été remises en question.
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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561703 | ENV1-26 | Documentation générale | Centre de documentation | Périodiques | Disponible |