Impacts macroéconomiques du Grenelle de l'Environnement
Documentation générale
Auteurs :
Collectif, Auteur
Importance :
121 p. / 21x29,7
Langues:
Français
Index. décimale :
ENV (ENVIRONNEMENT ET PAYSAGE)
Catégories :
ECONOMIE D'ENERGIE
;
GRENELLE DE L'ENVIRONNEMENT
;
INFRASTRUCTURE DE TRANSPORT
;
RENOVATION
L’objectif du travail proposé est d’évaluer ex ante l’impact macroéconomique des investissements mis en
oeuvre dans le cadre du Grenelle de l’environnement, dans les domaines des transports, du bâtiment et des
énergies renouvelables. L’étude, fondée sur le modèle macroéconomique Trésor-Insee Mésange, montre
que les mesures du Grenelle de l’environnement ont un impact favorable sur le PIB et l’emploi à court terme
du fait des effets multiplicateurs des investissements déclenchés. À moyen-long terme, le ralentissement
puis l’arrêt des investissements, la hausse des prix, et celle des prélèvements obligatoires nécessaire au
financement des investissements, annulent les gains économiques du Grenelle après 2020. Par la suite,
l’impact relatif sur le PIB et l’emploi devient négatif.
Ces résultats font appel à plusieurs hypothèses, y compris de modélisation, et doivent être considérés avec
prudence. En particulier, le Grenelle de l’environnement pourrait, à long terme, enclencher des effets positifs
durables sur l’économie via un surcroît d’innovation par rapport à nos partenaires commerciaux qui
améliorerait notre compétitivité hors-prix. Ces effets sont imparfaitement pris en compte ici : seuls les gains
socioéconomiques induits par les infrastructures de transport ont pu être valorisés. Pour autant, ces gains ne
suffisent pas à compenser l’effet macroéconomique négatif du Grenelle à long terme.
oeuvre dans le cadre du Grenelle de l’environnement, dans les domaines des transports, du bâtiment et des
énergies renouvelables. L’étude, fondée sur le modèle macroéconomique Trésor-Insee Mésange, montre
que les mesures du Grenelle de l’environnement ont un impact favorable sur le PIB et l’emploi à court terme
du fait des effets multiplicateurs des investissements déclenchés. À moyen-long terme, le ralentissement
puis l’arrêt des investissements, la hausse des prix, et celle des prélèvements obligatoires nécessaire au
financement des investissements, annulent les gains économiques du Grenelle après 2020. Par la suite,
l’impact relatif sur le PIB et l’emploi devient négatif.
Ces résultats font appel à plusieurs hypothèses, y compris de modélisation, et doivent être considérés avec
prudence. En particulier, le Grenelle de l’environnement pourrait, à long terme, enclencher des effets positifs
durables sur l’économie via un surcroît d’innovation par rapport à nos partenaires commerciaux qui
améliorerait notre compétitivité hors-prix. Ces effets sont imparfaitement pris en compte ici : seuls les gains
socioéconomiques induits par les infrastructures de transport ont pu être valorisés. Pour autant, ces gains ne
suffisent pas à compenser l’effet macroéconomique négatif du Grenelle à long terme.
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
597703 | ENV1-41 | Documentation générale | Centre de documentation | Périodiques | Disponible |