Les 3 et 4 février 2016, l'ADUGA recevait les partenaires européens dans le cadre du projet URBIS, dont le Grand Amiénois est l'un des trois territoires « tests »
Soutenue par la commission européenne, le projet de recherche URBIS a pour objectif de développer et de mettre en oeuvre des services novateurs, permettant l'identification des surfaces vacantes et zones de renouvellement urbain au sein des grandes aires urbaines de notre continent.
Utilisant des données spatiales disponibles en open data, ou au travers de l'observatoire européen Copernicus, il s'agit
de définir précisément les typologies d'espaces qui répondent à ces
enjeux de mutabilité, puis de développer de nouveaux algorithmes de
télédétection.
Le reste des deux jours s'est focalisé sur les services thématiques qui pourraient être mis en oeuvre par ce projet: estimation des coûts de démolition de friches, indicateurs de suivi de l'extension urbaine ou encore un moteur de recherche multicritères qui serait capable de sélectionner des dents creuses adaptées à un projet d'aménagement.
L'ensemble du projet est programmé sur trois ans et entre dans sa dernière phase: la mise en oeuvre de service à l'échelon local.
Dans le cadre d'un "Technical Meeting", l'ADUGA recevait donc ses partenaires, issus de cinq pays européens: les laboratoires des universités de Gènes et d'Osnabrück; deux bureaux d'études en télédétection - GISAT (Prague) et SIRS (Villeneuve d'Ascq); un cabinet spécialisé dans la reconversion de friches - STADT+ (Leipzig) - et David Ludlow, un consultant en urbanisme et forme urbaine européenne.
Avec la participation de Sophie GALLAND et Arnold LANDAIS - de l'Atelier Urbanisme Architecture et Paysage d'AMIENS METROPOLE - l'ADUGA a notamment organisé un circuit au coeur de la ville, permettant aux différents acteurs de relever, sur le terrain, les écarts comparés aux données produites. Ainsi, les collaborateurs étrangers ont pu découvrir le parc Saint-Pierre, les boulevards intérieurs, les îlots de l'épousée et DUPONTREUE, ou encore la friche COSSERAT.Dans le cadre d'un "Technical Meeting", l'ADUGA recevait donc ses partenaires, issus de cinq pays européens: les laboratoires des universités de Gènes et d'Osnabrück; deux bureaux d'études en télédétection - GISAT (Prague) et SIRS (Villeneuve d'Ascq); un cabinet spécialisé dans la reconversion de friches - STADT+ (Leipzig) - et David Ludlow, un consultant en urbanisme et forme urbaine européenne.
Le reste des deux jours s'est focalisé sur les services thématiques qui pourraient être mis en oeuvre par ce projet: estimation des coûts de démolition de friches, indicateurs de suivi de l'extension urbaine ou encore un moteur de recherche multicritères qui serait capable de sélectionner des dents creuses adaptées à un projet d'aménagement.